La cybercriminalité : que dit la loi?

On ne peut plus désormais faire la sourde oreille quant à la présence de la cybercriminalité. Malwares, virus en tout genre et piratages sont bel et bien présents sur le Net. Et que ce soit les entreprises ou les particuliers : tous peuvent en être victimes.

Des lois qui gèrent l’utilisation du web

Cependant, comme la solution n’est pas de ne plus utiliser internet, les autorités en place ont voulu gérer l’utilisation du web avec des lois. Désormais qualifiée d’infraction pénale donc, ce genre d’action ouvre la porte à un procès à des peines variées selon l’acte commis. La difficulté étant de constituer les preuves de l’infraction, car dans le monde virtuel généralement, trace de la cybercriminalité s’efface rapidement.
La cybercriminalité est une nouvelle forme de crime avec laquelle la société a dû faire vivre. Le développement du monde digital n’a pas apporté avec lui que des avantages. Mais afin de pallier à cet inconvénient, les autorités en place ont mis en place différents textes de loi qui peuvent être applicables face à ce genre de situation : la loi Godfrain du 5 février 1988, la loi du 15 novembre 201, et récemment la loi sur la protection des données individuelles de 2006. Chacune est affectée à un crime en particulier. Par exemple, certains ne gèrent que les attaques d’ordre économique et financier alors que la RGPD assure l’inviolabilité des données virtuelles, etc.

La situation est d’autant plus critique de nos jours

Avec l’arrivée des nouvelles technologies, la situation est d’autant plus critique en France comme ailleurs. La preuve est faite par les dernières attaques de 2017 où un malware d’une rare violence s’est attaquée aux données de plusieurs centaines d’entreprises par delà le monde, entrainant par la même occasion un ralentissement dans le marché économique du monde.
Les entreprises ont des obligations afin de mieux protéger leur site et les données personnelles qu’elles conservent pour le compte de leur client. La RGPD est particulièrement exigeante sur ce point. C’est d’ailleurs l’un des rares textes qui exposent des motifs clairs et concis quant aux responsabilités des prestataires virtuelles face à la cybercriminalité.

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